Um dos homens que em Portugal sabe desta ‘poda’ (financeira), isto é, das suas ' maningâncias ' assente num saber camoniano (de 'experiência feito') é João Rendeiro (de sua graça) que resolveu produzir sobre o ‘caso GES/BES’, em desenvolvimento, algumas afirmações deveras preocupantes. Trata-se de um expert que sendo, neste momento, um dos principais arguidos no processo BPP ostenta publicamente o ‘ savoire faire ’ relativo a estas coisas e é tido pelos ‘ mercados ’ como um analista qualificado (que terá apreendido com o ‘desastre BPP’). Este ex-banqueiro (actualmente está inibido de exercer essa ‘profissão’) que virou comentador económico-financeiro na blogosfera ( link ; link ) admite que o impacto na economia gerado pela ‘crise GES/BES e associados’ poderá ser quantificado numa queda do PIB que atingirá 7,6% link . Até aqui as preocupações políticas (do Governo e dos partidos) têm-se centrado sobre quem vai pagar a falência do Grupo (BES incluído) e as c
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À M. VICTOR HUGO
Lisbonne, le 27 juin 1867.
On vient de remporter un grand triomphe ! Encore mieux ; la civilisation a fait un pas de géant, le progrès s’est acquis un solide fondement de plus ! La lumière a rayonné plus vive. Et les ténèbres ont reculé.
L’humanité compte une victoire immense. Les nations rendront successivement hommage à la vérité ; et les peuples apprendront à bien connaître leurs vrais amis, les vrais amis de l’humanité.
Maître ! votre voix qui se fait toujours entendre lorsqu’il faut défendre un grand principe, mettre en lumière une grande idée, exalter les plus nobles actions ; votre voix qui ne se fatigue jamais de plaider la cause de l’opprimé contre l’oppresseur, du faible contre le fort ; votre voix, qu’on écoute avec respect de l’Orient à l’Occident, et dont l’écho parvient jusqu’aux endroits les plus reculés de l’univers ; votre voix qui, tant de fois, se détacha forte, vigoureuse, terrible, comme celle d’un prophète géant de l’humanité, est arrivée jusqu’ici, a été comprise ici, a parlé aux coeurs, a été traduite en un grand fait ici... dans ce recoin, quoique béni, presque invisible dans l’Europe, microscopique dans le monde ; dans cette terre de l’extrême Occident, si célèbre jadis, qui sut inscrire des pages brillantes et ineffaçables dans l’histoire des nations, qui a ouvert les ports de l’Inde au commerce du monde, qui a dévoilé des contrées inconnues, dont les hauts faits sont aujourd’hui presque oubliés et comme effacés par les modernes conquêtes de la civilisation, dans cette petite contrée enfin qu’on appelle le Portugal !
Pourquoi les petits et les humbles ne se lèveraient-ils pas, quand le dix-neuvième siècle est déjà si près de son terme, pour crier aux grands et aux puissants : L’humanité est gémissante, régénérons-la ; l’humanité se remue, calmons-la ; l’humanité va tomber dans l’abîme, sauvons-la ?
Pourquoi les petits ne pourraient-ils pas montrer aux grands le chemin de la perfection ? Pourquoi ne pourraient-ils, seulement parce qu’ils sont petits, apprendre aux puissants le chemin du devoir ?
Le Portugal est une contrée petite, sans doute ; mais l’arbre de la liberté s’y est déjà vigoureusement épanoui ; le Portugal est une contrée petite, sans doute, mais on n’y rencontre plus un seul esclave ; le Portugal est une contrée petite, c’est vrai ; mais, c’est vous qui l’avez dit, c’est une grande nation.
Maître ! on vient de remporter un grand triomphe, je vous l’annonce. Les deux chambres du parlement ont voté dernièrement l’abolition de la peine de mort.
Cette abolition, qui depuis plusieurs années existait de fait, est aujourd’hui de droit. C’est déjà une loi. Et c’est une grande loi dans une nation petite. Noble exemple ! Sainte leçon !
Recevez l’embrassement respectueux de votre dévoué ami et très humble disciple,
Pedro DE BRITO ARANHA.
À M. PEDRO DE BRITO ARANHA
Hauteville-House, 15 juillet.
Votre noble lettre me fait battre le coeur.
Je savais la grande nouvelle ; il m’est doux d’en recevoir par vous l’écho sympathique.
Non, il n’y a pas de petits peuples.
Il y a de petits hommes, hélas !
Et quelquefois ce sont ceux qui mènent les grands peuples.
Les peuples qui ont des despotes ressemblent à des lions qui auraient des muselières.
J’aime et je glorifie votre beau et cher Portugal. Il est libre, donc il est grand.
Le Portugal vient d’abolir la peine de mort.
Accomplir ce progrès, c’est faire le grand pas de la civilisation.
Dès aujourd’hui le Portugal est à la tête de l’Europe.
Vous n’avez pas cessé d’être, vous Portugais, des navigateurs intrépides. Vous allez en avant, autrefois dans l’océan, aujourd’hui dans la vérité. Proclamer des principes, c’est plus beau encore que de découvrir des mondes
Je crie : Gloire au Portugal, et à vous : Bonheur !
Je presse votre cordiale main.
V. H.
Surge-me , no entanto, uma dúvida:
Por onde andam os gémeos polacos?
Estão a preparar-se para assistir à inauguração do mamarracho milionário de Fátima.
... a moratória que entrou na ONU para erradicação da pena de morte no mundo ,
... este dia que agora celebram...
.. tudo ...
.. foi obra do activismo de Romano Prodi e da esquerda italiana.
SOU CONTRA A PENA DE MORTE, mas sou muitíssimo a favor do cumprimento efectivo de penas, sem quaiquer tipo de reduções ou outras artimanhas que se arranjem pelo caminho para diminuírem a pena dos "coitadinhos". Amigos, alguns dos que estão lá dentro só de olhar só para eles e sabendo porque ali estão, é um aperto no ... intestino, que não se deseja.
SOU CONTRA, que os detidos que cumpram penas por graves crimes de sangue, usufruam nas suas celas de TV, DVD, Telemóvel, e outras mordomias; as pessoas têm de perceber que "mandaram" alguém para o cemitério, ou que ficaram com lesões irreversíveis para o resto da sua da sua Vida. Recreio, refeitório, cela, tratamentos de saúde, e (ponto final).
Alguém ainda se lembra do CRIME da PRAIA DO OSSO DA BALEIA? Coitado do infeliz (!!!), foi parar à prisão (Coimbra) e lá até ajudou à missa; ah, e parece que efectivamente, só lá "esteve" 12 anos.
Um "senhor do crime" que até deu entrevistas nos jornais de seu nome (Manuel "Alentejano"), quantos não mandou para o ... outro lado?. E etc, etc.
Pela 1ª vez afirmo princípios intrinsecos meus: NÃO SOU XENÓFOBO OU RACISTA. Agora quem matar, estropiar, ou "marcar", nºao era a morte que se lhe deve dar, mas a ausência de coisas que ele/a roubou a outrém.
Mais, aqui e agora sem quaiquer "melhorias de linguagem": o que é que muitos Países Europeus, têm como Legislação neste aspecto?. "Visite-se", o ... vizinho do lado.